jeudi 12 juillet 2007

La F@brique du Futur réconcilie Développement durable et innovations

La F@brique du Futur est née de plusieurs convictions :

- la prospective n'occupe pas la place qu'elle devrait. A trop se polariser sur le court terme, on va droit dans le mur !

- réfléchir au futur ne signifie pas qu'on ne doit pas être opérationnel et agir. On se situe dans la prospective concrète, appliquée car le futur se rêve peut-être, mais surtout il se construit chaque jour.

- le développement durable, par définition, doit prendre en compte la durée. Or, le lien entre développement durable et prospective n'est pas toujours fait...

- le développement durable ne doit pas se traduire par le rejet de la science et de l'innovation technologique. Bien au contraire, il s'agit de réconcilier ces approches, qui s'ignorent parfois...

- la prospective est affaire de tous : décideurs et acteurs socio-économiques, mais aussi consommateurs, usagers, citoyens...

- l'observation des usages émergents provenant des individus et communautés avant-gardistes constitue une piste privilégiée de prospective et d'innovation. La F@brique du Futur a vocation à constituer des laboratoires d'usages pour détecter ces signaux faibles.

Aujourd'hui, l'équipe de la F@brique du Futur est constituée d'hommes et de femmes venus d'horizons diversifiés, résolument transdisciplinaires : stratégie, marketing, communication, R&D, innovation, design, création, arts, sciences dures et sciences humaines, NTIC, développement territorial et urbain,...

La richesse des membres de la F@brique du Futur apporte l’expertise fonctionnelle, la maîtrise des technologies et l’engagement nécessaires pour développer des projets concrets. Leur point commun : un parcours professionnel riche et varié, une connaissance théorique forte et surtout un intéret pour la prospective, l'innovation. .....

Sur ladidom.com n° 25 (juillet 2007), un entretien avec Eric Seuillet, fondateur et président de La Fabrique du Futur.
"Aujourd’hui, le consommateur, devenu un consom’acteur, veut s’impliquer et a la capacité de s’associer au processus d’innovation, de s’inscrire dans une démarche de co-création. L’observation des usages et des remarques de ces consommateurs donne des pistes d’innovation en terme de nouveaux produits mais aussi de nouveaux services..."

1 commentaire:

Anonyme a dit…

pourquoi ce mot de consommation sent il toujours autant mauvais?