Encore sous le charme de ce concert mythique, envoûtés nous les chats.
une petite video? Le mythe de la Caverne.
Sur ce, nouss fermons la boutique pour 5 jours. En route vers Quiberon et les mégalithes.
"Je m’intéresse à l’avenir car c’est là que j’ai décidé de passer le restant de mes jours." Woody Allen
mercredi 30 avril 2008
lundi 28 avril 2008
Greenpeace, Unilever, Dove et l'huile de palme
L'huile de palme est un danger écologique reconnu.
Voici un petit film de nos amis de Greenpeace contre Unilever (parodie de la pub Dove :
Voici un petit film de nos amis de Greenpeace contre Unilever (parodie de la pub Dove :
" Comment la beauté vient aux filles", elle-même une parodie dénonçant en son temps les diktats de la beauté)
Article ®ecyclé du 4 juillet, pour ceux qui ne l'aurait pas vu ici à l'époque
Voici le film DOVE
Un petit film très instructif sur l'art et la manière de rendre un top (model) au top avec l'aide de photoshop !
A partir d'ingrédient de base.
De l'O(rganisme) G(énétiquement) N(naturel) à l'OGM...
Article ®ecyclé du 4 juillet, pour ceux qui ne l'aurait pas vu ici à l'époque
Voici le film DOVE
Un petit film très instructif sur l'art et la manière de rendre un top (model) au top avec l'aide de photoshop !
A partir d'ingrédient de base.
De l'O(rganisme) G(énétiquement) N(naturel) à l'OGM...
dimanche 27 avril 2008
Bloggers non influents ::: 201, ça grimpe
Ils ne sont pas influents:
Les filles
TriBuLaTions
C'est dur de tondre un oeuf
Pivoine Merlin.com
So glamourous
Zeste de citron
Veniale, le blog qui se lit (presk') sur la lune
Un jour, une vie
Une citadine à la campagne
Trendykat
This is me
Ruedebeaune
Rima'space
ratou's net
Si.Javais.Su
Pastis et Coquelicots
Par petits bouts
Oublie moi
Melting Pot
Les messages de Miss Chanel
Maman faut que je te raconte
Lili's world
Le rêve de Shakti
Lénia
Le blog de la Quenelle
Les Doudoux et Cie
Les tribulations de bibouille
Les 400 clics
Barbara Forever
Le blogue de Tilly
Mademoiselle Figolu...
Colibri et Tintamarre
Cheap but Chic
Fressine
France Ecosse
Kriss@Montreal
De la sexualité des araignées
Faut absolument que je te raconte
Fashion Gazette
A garden in France
Bliss
Ka Ching
Les mots de Camille
Le boudoir de Mademoiselle Frou
Le journal de la Grenouille
Clyne
Bienvenue chez Uggy
La p'tite dame
La Maison de Poupée
Les carnets de Loula
A l'ombre des murmures
De la pédagogie à la futilité.
Bulle de papier
Et Blog le Navire
J'y réfléchis
Le blog des allumées
Miss Rainette et son petit monde
Sur le chemin du bonheur
Blogy Me & you
Planetargonautes
Une fille ordinaire... ou pas
Sex and the Pity 2.0
Les crumbles de Miss Alfie
Arcane est un nom masculin
Blog to be alive
Des papillons dans la tête et des mots au ventre
Nahimage
Journal d'une peste
Les tiroirs de ma tête
Les bulles de Lisa
Le blog de l'Etoirle Filante
La vie d'une maman pas si désespérée
She wanna have fun
Eperdue
Le blog de la Marmotte
Happy holidays
Un jour une vie
Une future PE au pays de la préparation à distance
theo...trukmus...et autres divagations
NoumeaParis
La gazette de Zess
Piece of Brain
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U-Nicks
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Le blog d'Eylis
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Adorables panoplies
Coup double
OhSoVery - Le blog d'un joyeux Cagaroule
Ckankonvaou
Les Pensées de Manu
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Les gars
La Revue de Stress
www.gwendalbocher.com
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Kapsteur Blog
La possibilité d'un Pack
Dolarzblog
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L'humeur de littlecelt
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Le blog de Linard Alexandre
Les chroniques en panique
Journal d'un nombriliste
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Sans transition
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Chroniques d'un dérangé
C'est l'heure Moune
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Le jour et la nuit
Le viennois
Alex Rossignol
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The 6L20's life
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The Mean
Le Blog de la Rev
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Acheter et entretenir sa tronçonneuse
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Les coquins
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Des photos, c'est tout.
Les créa's de Lili
Ici et là et ailleurs
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Web marketing et web 3.0
L'inaudible
Le bordel à Dimic
le blog d'Artwo
Et moi, et moi, et moi...
Lbcd78
Zaepffel.net
Mathias étudiant en SRC à Mulhouse
Gaëtan Houssin
Le journal d'un Nerd
Le blog de Patrice Hillaire
Le [petit]blog de Loic
Le blog d'Antoine
Smartie's Blog's
86231 !
Aqua Tofana
Le web et ses standards pour les nuls
Thierry Poinot.com
amazone2jeux
Blogaetan
M2057 Le blog de Mathieu
Mikk Matt
Monsieur tOm'
Le blog d'un passionné
Geek touch.com
MisterDev
iFan
Kharr's Palace. Le blog
Pour que le monde change
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Vienne
Adicie, toutes les vérités sont bonnes à dire
Perpignan La Loose
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Parole de démocrates
Boulègues!
Les troquets
L'Imprévu
Tasse et Glace
Les inclassables (et les inclassés...)
Komunblog
Héros du quotidien
Les aventures des chercheurs de job
Vergibération
Stupidocratie
Pensées Verticales
Moinillon au quotidien
Le blog à plusieurs
Buzz of com
Berious
Demesure du possible
Capes anglais
Chubu Tsuki
Sauvons la terre
Les yeux interdits
You Tube Quebec
@ la surface
Bienvenue chez mibeolem
(201)
samedi 26 avril 2008
Epilation écolo
Harrison Ford a eu l’idée d’un coup d’éclat insolite afin de sensibiliser les gens à la coupe abusive des arbres de la planète : inviter les médias à le voir se faire épiler le torse à la cire. C’est en tant que vice-président de l’organisation environnementale Conservation International qu’il s’est soumis à la « torture » de l’esthéticienne mercredi. Symbolisant la douloureuse déforestation que subit la Terre, voilà tout de même un geste qui fait jaser... et tel est le but!
Harrison, on t'aime... Tu es vraiment un people "au poil" !
via canoe.ca
jeudi 24 avril 2008
Les enfants du phare et les enfants du silo
4 bardes à attacher dans un arbre !
Parodie n°1
La réponse
3è mi-temps
Parodie n°1
La réponse
3è mi-temps
dimanche 20 avril 2008
blog de la semaine ::: radio bistrot
Un nouveau blog où l'on discute de tout sur un ton impertinent. Ils m'ont demandé gentillement de participer, alors j'ai dit oui.
On peut y voir ce genre de choses: tout simplement jubilatoire
Radio bistrot, c'est par là
On peut y voir ce genre de choses: tout simplement jubilatoire
Radio bistrot, c'est par là
vendredi 18 avril 2008
Tudo bom? et toi? comment tu vas ...
La Quinzaine du commerce équitable, c'est à partir du 25 avril jusqu'au 11 mai.
Toute la quinzaine, nous les chats on va vous proposer un petit tour des entreprises qu'on aime bien. Dans la joie et la bonne humeur.
Au fait connaissez- vous l'origine de l'expression française
Au temps de la peste noire, on se demandait en se rencontrant: Comment allez-vous ... à la selle?
Et oui. Pour savoir si les gens rencontrés étaient contaminés ! On en profitait pour leur serrer la main afin de se rendre compte s'ils avaient de la fièvre ou quelques boutons.
Et ça marche en anglais : How do you do ... (to the toilet)
Et en allemand : Wie geht's?
Pour les autres langues européennes adressez-vous à un traducteur.
Et puisqu'au Brésil tout commence et tout finit en chansons, voici l'histoire VRAIE du petit pain d'émice brésilien, envoyée par Marcia de Carvalho
Le petit pain d’épices brésilien
Il était une fois, non pas une fois, mais chaque matin, un petit pain d’épices, qui lorsqu’il se réveillait encore tout chaud et croustillant de la nuit passé sous son épaisse couette, se mettait à chanter un vieil air de son pays : le Brésil ; c’était un petit pain d’épices brésilien.
Ses yeux noirs brillaient, comme deux raisins bien mûrs, et sa bouche qui était une cerise charnue gonflée par le soleil du mois de Juin, ne pouvait cacher une merveilleuse rangée de dents toutes blanches en sucre d’orge, mais le plus charmant était encore ses jolis pieds dorés à souhait, qui de temps en temps, pour accompagner son chant délicat se mettaient à faire quelques pas de samba.
C’est vous dire de quel bonhomme il s’agissait : gai, enjoué et toujours prêt à s’amuser.
Ce matin là il décida donc de profiter du soleil qui lui faisait quelques clins d’œil, et d’échapper à son travail, bien qu’il le fit toujours avec passion : il inventait et fabriquait des vêtements très colorés et qui frappaient par leur originalité. Oubliant toutes les obligations et responsabilités qui lui incombaient, il se mit en route sur le chemin verdoyant qui s’ouvrait devant lui.
Très vite, il croisa sur son chemin une vieille figure qu’hélas il connaissait trop bien, c’était le propriétaire de l’atelier où il confectionnait ses habits.
- Holà mon bon et beau petit pain d’épices, où vas-tu d’un pas si alerte et haut ? lui demande le propriétaire.
- Justement voyez vous mon cher proprio j’allais au gré de mon chemin, et
quelle joie de vous voir avec autant d’entrain.
- Et le loyer que tu me dois, est il aussi en chemin, ou bien va-t-il falloirque je devienne aussi méchant qu’un chien ? Prends garde car si tu ne peux me payer, je te mangerai.
- Non, non, non, dit le petit pain d’épices un brin affolé, écoutez plutôt ma dernière chanson, je suis sûr que vous n’en n’avez jamais entendu de pareille.
Aussitôt le proprio dresse l’oreille car en plus de posséder de multiples habitats, il était aussi amateur de bossa nova.
« Eu sou um pao do Brasil
Je suis fais de mille épices
Et sans aucun vice
Ni de forme ni d’âme.
Quand je trace et dessine
C’est un miracle qui s’affine
Une seule esquisse pour que cela réussisse
Tout le monde le dit : c’est exquis
Jamais je n’ai besoin que l’on m’applaudisse
Et devant autant de bis, permettez que je m’éclipse.. »
Le proprio à ce point charmé ne peut plus bouger. Le petit pain d’épices en profite pour
Toute la quinzaine, nous les chats on va vous proposer un petit tour des entreprises qu'on aime bien. Dans la joie et la bonne humeur.
Au fait connaissez- vous l'origine de l'expression française
comment allez-vous ?
Au temps de la peste noire, on se demandait en se rencontrant: Comment allez-vous ... à la selle?
Et oui. Pour savoir si les gens rencontrés étaient contaminés ! On en profitait pour leur serrer la main afin de se rendre compte s'ils avaient de la fièvre ou quelques boutons.
Et ça marche en anglais : How do you do ... (to the toilet)
Et en allemand : Wie geht's?
Pour les autres langues européennes adressez-vous à un traducteur.
Et puisqu'au Brésil tout commence et tout finit en chansons, voici l'histoire VRAIE du petit pain d'émice brésilien, envoyée par Marcia de Carvalho
Le petit pain d’épices brésilien
Il était une fois, non pas une fois, mais chaque matin, un petit pain d’épices, qui lorsqu’il se réveillait encore tout chaud et croustillant de la nuit passé sous son épaisse couette, se mettait à chanter un vieil air de son pays : le Brésil ; c’était un petit pain d’épices brésilien.
Ses yeux noirs brillaient, comme deux raisins bien mûrs, et sa bouche qui était une cerise charnue gonflée par le soleil du mois de Juin, ne pouvait cacher une merveilleuse rangée de dents toutes blanches en sucre d’orge, mais le plus charmant était encore ses jolis pieds dorés à souhait, qui de temps en temps, pour accompagner son chant délicat se mettaient à faire quelques pas de samba.
C’est vous dire de quel bonhomme il s’agissait : gai, enjoué et toujours prêt à s’amuser.
Ce matin là il décida donc de profiter du soleil qui lui faisait quelques clins d’œil, et d’échapper à son travail, bien qu’il le fit toujours avec passion : il inventait et fabriquait des vêtements très colorés et qui frappaient par leur originalité. Oubliant toutes les obligations et responsabilités qui lui incombaient, il se mit en route sur le chemin verdoyant qui s’ouvrait devant lui.
Très vite, il croisa sur son chemin une vieille figure qu’hélas il connaissait trop bien, c’était le propriétaire de l’atelier où il confectionnait ses habits.
- Holà mon bon et beau petit pain d’épices, où vas-tu d’un pas si alerte et haut ? lui demande le propriétaire.
- Justement voyez vous mon cher proprio j’allais au gré de mon chemin, et
quelle joie de vous voir avec autant d’entrain.
- Et le loyer que tu me dois, est il aussi en chemin, ou bien va-t-il falloirque je devienne aussi méchant qu’un chien ? Prends garde car si tu ne peux me payer, je te mangerai.
- Non, non, non, dit le petit pain d’épices un brin affolé, écoutez plutôt ma dernière chanson, je suis sûr que vous n’en n’avez jamais entendu de pareille.
Aussitôt le proprio dresse l’oreille car en plus de posséder de multiples habitats, il était aussi amateur de bossa nova.
« Eu sou um pao do Brasil
Je suis fais de mille épices
Et sans aucun vice
Ni de forme ni d’âme.
Quand je trace et dessine
C’est un miracle qui s’affine
Une seule esquisse pour que cela réussisse
Tout le monde le dit : c’est exquis
Jamais je n’ai besoin que l’on m’applaudisse
Et devant autant de bis, permettez que je m’éclipse.. »
Le proprio à ce point charmé ne peut plus bouger. Le petit pain d’épices en profite pour
s’échapper. Il court, il court sur le sentier mais au bout de quelques kilomètres le voilà qui aperçoit à l’autre bout de la route, qui vient à sa rencontre une silhouette familière, pas de doute, cet air furieux et amer (non, ce n’est pas sa mère) mais l’un de ses commanditaires.
- Oh mais est ce que je rêve ? Serait ce mon esprit qui me joue un tour, ou s’agit il de mon ami le petit pain d’épices qui accourt vers moi le souffle court.
- En effet oui, je manque d’air cher commanditaire, car justement je n’ai de cesse de me
- Oh mais est ce que je rêve ? Serait ce mon esprit qui me joue un tour, ou s’agit il de mon ami le petit pain d’épices qui accourt vers moi le souffle court.
- En effet oui, je manque d’air cher commanditaire, car justement je n’ai de cesse de me
presser pour vous livrer en temps et en heure, ce qui est, reconnaissez le, tout à mon honneur.
- De l’air tu n’en manques pas pour affirmer pareilles sornettes, pourquoi ne pas me jouer tant que tu y es un air de trompette ?
Où sont les ors et vermeilles, toutes ces merveilles qu’il y a si peu de temps tu me promettais tant ? Prends garde car si tu ne peux me livrer je te mangerai.
- Non, non , non, réponds le petit pain d’épices, écoutez plutôt ma dernière chanson, je suis sûr qu’elle vous ravira autant que mes plus belles dentelles.
- De l’air tu n’en manques pas pour affirmer pareilles sornettes, pourquoi ne pas me jouer tant que tu y es un air de trompette ?
Où sont les ors et vermeilles, toutes ces merveilles qu’il y a si peu de temps tu me promettais tant ? Prends garde car si tu ne peux me livrer je te mangerai.
- Non, non , non, réponds le petit pain d’épices, écoutez plutôt ma dernière chanson, je suis sûr qu’elle vous ravira autant que mes plus belles dentelles.
Immédiatement le commanditaire qui était un homme de goût, abandonne son mauvais
air et écoute de plus bel.
« Eu sou um pao do Brasil
Je suis fais de mille épices
Et sans aucun vice
Ni de forme ni d’âme.
Quand je trace et dessine
C’est un miracle qui s’affine
Une seule esquisse pour que cela réussisse
Tout le monde le dit : c’est exquis
Jamais je n’ai besoin que l’on m’applaudisse
Et devant autant de bis, permettez que je m’éclipse.. »
De joie et de bonheur le commanditaire ne se contient plus il saute en l’air comme devenu fou, mais déjà le petit pain d’épices a disparu, il court, il court à travers bois.
C’est là au détour d’un mauvais chemin qu’il se heurte comme surgit de nulle part, au plus vilain des vilains. Son costume noir taillé sur mesures brille comme un pelage, ses yeux flamboient dans l’ombrage.
Quand le petit pain d’épices aperçoit la cravate bien nouée autour d’un col blanc immaculé, plus de doute, il s’écrie « ciel mon banquier ».
- Tiens, tiens il faut être bien imprudent pour venir rôder dans pareil endroit, surtout quand on est un joli pain d’épices comme toi.
- Oh cher banquier, je ne fais que passer, contrairement à vous, ce lieu ne m’est pas assez familier pour que je m’y attarde d’avantage.
- A mes heures perdues, j’ai déjà gouté à la chair brésilienne, ici même dans ce bois, un tout autre genre que toi, il est vrai, mais tu sais ce que c’est, on y prend goût et te croquer serait une manière de me rembourser.
- Non, non, non, s’écrie le petit pain d’épices écoutez plutôt ma dernière chanson, elle vaut bien toutes les monnaies sonnantes et trébuchantes, elle roulera au fond de vos divines oreilles aussi sûrement que les liasses au fond de vos lourdes poches.
A ces mots le banquier qui entend déjà tinter l’or et l’argent se redresse, il
se trouve toute ouïe et tend les mains en avant comme pour récolter la manne
céleste, et oui c’est ainsi que les banquiers écoutent les chansons, pas
autrement.
« Eu sou um pao do Brasil
Je suis fais de mille épices
Et sans aucun vice
Ni de forme ni d’âme.
Quand je trace et dessine
C’est un miracle qui s’affine
Une seule esquisse pour que cela réussisse
Tout le monde le dit : c’est exquis
Jamais je n’ai besoin que l’on m’applaudisse
Et devant autant de bis, permettez que je m’éclipse.. »
Subjugué, la bouche bée et les mains grandes ouvertes, il reste ainsi indéfiniment, le petit pain d’épices en profite pour prendre la poudre d’escampette, ce n’est pas le moment de faire le bête. Mais à peine sortie du bois, voilà qu’il tombe nez à nez sur un tout autre larron, inconnu au bataillon des fripons. Il affiche un air rusé et sûr de soi.
- Bonjour ! dit il
- Bonjour ! lui répond le petit pain d’épices, se tenant sur ses gardes.
- Etait ce toi que j’entendais, il y a seulement quelques instants, chanter d’une si belle voix, comme le plus fameux des bardes ?
Ces douces paroles font abandonner toute distance au petit pain d’épices, et le voilà qui se rapproche, pourtant tout le monde sait depuis Mr de la Fontaine, qu’il faut se méfier de tout flatteur, mais peut être que notre ami manque de culture, ou se croit il plus malin qu’un vieux corbeau bête et moche.
- Aurais tu la bonté de me faire écouter encore une fois quelques unes de ces merveilleuses notes, que mes oreilles puissent s’en régaler de la plus faible à la plus forte ?
Le petit pain d’épices se sent gonfler comme si on venait de le sortir du four, il devient tout doré et s’approche encore. Il ouvre la bouche et s’apprête à chanter, quand il reste un instant suspendu.
- C’est que . . . vous ne m’avez pas dit . . . qui êtes vous ?
- Comment tu ne m’as pas reconnu ? Je suis Rosario le célèbre impresario, j’engage les jeunes talents dans ton genre et rapidement l’argent coule à flot, ta fortune sera faite et ta vie ne sera plus qu’une longue fête.
- vraiment ? lui demande le petit pain d’épices, une étincelle au fond des yeux.
- Assurément ! aussi certain que je m’appelle Rosario l’impresario. Ne me fais pas patienter d’avantage, chante donc, mais comme avec l’âge je suis devenu à moitié sourd, grimpe sur mon nez ,que je puisse mieux t’écouter.
Le petit pain d’épices d’un bond se retrouve sur le nez du rusé larron, mais au moment où celui-ci ouvre la bouche pour l’engloutir, dans un grand éclat de rire il rebondit encore et tout fier du tour qu’il vient de lui jouer, lui dit:
- J’ai beau n’être qu’un petit pain d’épices brésilien, jamais vous ne m’avalerez, et puis il faut que vous sachiez, je chante d’abord pour mon plus grand plaisir, qui n’a pas besoin d’autre raison pour s’épanouir, je chante pour les étoiles, pour ce vieux tilleul qui hisse ses branches comme une grande voile, pour le rouge gorge qui vient tous les matins dans mon jardin, pour tous les chiens errants qui passent et trainent la patte, toutes ces choses sans importance que personne ne voit mais qui font ce que je suis : moi. Sur ce, je vous salue et ne vous dis pas à une prochaine fois.
Et c’est ainsi que le petit pain d’épices brésilien continua sa route, peut être quelques fois accompagné par le doute, alors il esquissait quelques pas, aiguisait sa voix, et là haut, tout là haut se mettait à trembler toute la céleste voute.
Par Eric Renault
air et écoute de plus bel.
« Eu sou um pao do Brasil
Je suis fais de mille épices
Et sans aucun vice
Ni de forme ni d’âme.
Quand je trace et dessine
C’est un miracle qui s’affine
Une seule esquisse pour que cela réussisse
Tout le monde le dit : c’est exquis
Jamais je n’ai besoin que l’on m’applaudisse
Et devant autant de bis, permettez que je m’éclipse.. »
De joie et de bonheur le commanditaire ne se contient plus il saute en l’air comme devenu fou, mais déjà le petit pain d’épices a disparu, il court, il court à travers bois.
C’est là au détour d’un mauvais chemin qu’il se heurte comme surgit de nulle part, au plus vilain des vilains. Son costume noir taillé sur mesures brille comme un pelage, ses yeux flamboient dans l’ombrage.
Quand le petit pain d’épices aperçoit la cravate bien nouée autour d’un col blanc immaculé, plus de doute, il s’écrie « ciel mon banquier ».
- Tiens, tiens il faut être bien imprudent pour venir rôder dans pareil endroit, surtout quand on est un joli pain d’épices comme toi.
- Oh cher banquier, je ne fais que passer, contrairement à vous, ce lieu ne m’est pas assez familier pour que je m’y attarde d’avantage.
- A mes heures perdues, j’ai déjà gouté à la chair brésilienne, ici même dans ce bois, un tout autre genre que toi, il est vrai, mais tu sais ce que c’est, on y prend goût et te croquer serait une manière de me rembourser.
- Non, non, non, s’écrie le petit pain d’épices écoutez plutôt ma dernière chanson, elle vaut bien toutes les monnaies sonnantes et trébuchantes, elle roulera au fond de vos divines oreilles aussi sûrement que les liasses au fond de vos lourdes poches.
A ces mots le banquier qui entend déjà tinter l’or et l’argent se redresse, il
se trouve toute ouïe et tend les mains en avant comme pour récolter la manne
céleste, et oui c’est ainsi que les banquiers écoutent les chansons, pas
autrement.
« Eu sou um pao do Brasil
Je suis fais de mille épices
Et sans aucun vice
Ni de forme ni d’âme.
Quand je trace et dessine
C’est un miracle qui s’affine
Une seule esquisse pour que cela réussisse
Tout le monde le dit : c’est exquis
Jamais je n’ai besoin que l’on m’applaudisse
Et devant autant de bis, permettez que je m’éclipse.. »
Subjugué, la bouche bée et les mains grandes ouvertes, il reste ainsi indéfiniment, le petit pain d’épices en profite pour prendre la poudre d’escampette, ce n’est pas le moment de faire le bête. Mais à peine sortie du bois, voilà qu’il tombe nez à nez sur un tout autre larron, inconnu au bataillon des fripons. Il affiche un air rusé et sûr de soi.
- Bonjour ! dit il
- Bonjour ! lui répond le petit pain d’épices, se tenant sur ses gardes.
- Etait ce toi que j’entendais, il y a seulement quelques instants, chanter d’une si belle voix, comme le plus fameux des bardes ?
Ces douces paroles font abandonner toute distance au petit pain d’épices, et le voilà qui se rapproche, pourtant tout le monde sait depuis Mr de la Fontaine, qu’il faut se méfier de tout flatteur, mais peut être que notre ami manque de culture, ou se croit il plus malin qu’un vieux corbeau bête et moche.
- Aurais tu la bonté de me faire écouter encore une fois quelques unes de ces merveilleuses notes, que mes oreilles puissent s’en régaler de la plus faible à la plus forte ?
Le petit pain d’épices se sent gonfler comme si on venait de le sortir du four, il devient tout doré et s’approche encore. Il ouvre la bouche et s’apprête à chanter, quand il reste un instant suspendu.
- C’est que . . . vous ne m’avez pas dit . . . qui êtes vous ?
- Comment tu ne m’as pas reconnu ? Je suis Rosario le célèbre impresario, j’engage les jeunes talents dans ton genre et rapidement l’argent coule à flot, ta fortune sera faite et ta vie ne sera plus qu’une longue fête.
- vraiment ? lui demande le petit pain d’épices, une étincelle au fond des yeux.
- Assurément ! aussi certain que je m’appelle Rosario l’impresario. Ne me fais pas patienter d’avantage, chante donc, mais comme avec l’âge je suis devenu à moitié sourd, grimpe sur mon nez ,que je puisse mieux t’écouter.
Le petit pain d’épices d’un bond se retrouve sur le nez du rusé larron, mais au moment où celui-ci ouvre la bouche pour l’engloutir, dans un grand éclat de rire il rebondit encore et tout fier du tour qu’il vient de lui jouer, lui dit:
- J’ai beau n’être qu’un petit pain d’épices brésilien, jamais vous ne m’avalerez, et puis il faut que vous sachiez, je chante d’abord pour mon plus grand plaisir, qui n’a pas besoin d’autre raison pour s’épanouir, je chante pour les étoiles, pour ce vieux tilleul qui hisse ses branches comme une grande voile, pour le rouge gorge qui vient tous les matins dans mon jardin, pour tous les chiens errants qui passent et trainent la patte, toutes ces choses sans importance que personne ne voit mais qui font ce que je suis : moi. Sur ce, je vous salue et ne vous dis pas à une prochaine fois.
Et c’est ainsi que le petit pain d’épices brésilien continua sa route, peut être quelques fois accompagné par le doute, alors il esquissait quelques pas, aiguisait sa voix, et là haut, tout là haut se mettait à trembler toute la céleste voute.
Par Eric Renault
mercredi 16 avril 2008
A la rue ::: Les mini films citoyens de Chad Chenouga
Depuis 2003, il travaille avec des hommes et des femmes hébergés au Centre d'Accueil et de Soins Hospitaliers (C.A.SH.) de Nanterre, structure unique en France puis qu'elle accueille des centaines de personnes qui se sont retrouvées à la rue.
Dans ce cadre, il a conçu des petits films avec une dizaine de personnes pour un programme s'intitulant "A la rue" qui est diffusé sur le site du nouvel observateur toute cette semaine samedi inclus (du lundi 14 au samedi 19 avril).
Chaque jour, un nouveau film (de 2 à 4 minutes) est diffusé sur ce site. À chaque fois des hommes et femmes en situation très précaire commentent en duo un nouveau sujet de l'actualité récente. Très sérieusement ou au contraire de manière futile...
Ils racontent à leur façon l'actualité de ce monde dont ils n'ont plus l'impression de faire partie. En mettant rarement en avant leurs conditions difficiles, iIs nous livrent leurs réflexions sur notre époque dans l'humour ou la révolte.
Ce programme court s'intitule "A LA RUE".
Pour accéder au site du nouvel obs, c'est par là . Ensuite si vous trouvez pas la page, il suffit d'aller dans la rubrique REPORTAGE. (en moins de 24h déjà + de 4200 personnes sont allées voir ces petits films !!!!)
Depuis hier, premier épisode "une vieille femme indigne" (durée : 4 minutes). Et en plus, aujourd'hui "Ah si j'étais riche!" (2mn20)
Si ça vous plaît, vous pouvez faire passer l'info :-))
Dans ce cadre, il a conçu des petits films avec une dizaine de personnes pour un programme s'intitulant "A la rue" qui est diffusé sur le site du nouvel observateur toute cette semaine samedi inclus (du lundi 14 au samedi 19 avril).
Chaque jour, un nouveau film (de 2 à 4 minutes) est diffusé sur ce site. À chaque fois des hommes et femmes en situation très précaire commentent en duo un nouveau sujet de l'actualité récente. Très sérieusement ou au contraire de manière futile...
Ils racontent à leur façon l'actualité de ce monde dont ils n'ont plus l'impression de faire partie. En mettant rarement en avant leurs conditions difficiles, iIs nous livrent leurs réflexions sur notre époque dans l'humour ou la révolte.
Ce programme court s'intitule "A LA RUE".
Pour accéder au site du nouvel obs, c'est par là . Ensuite si vous trouvez pas la page, il suffit d'aller dans la rubrique REPORTAGE. (en moins de 24h déjà + de 4200 personnes sont allées voir ces petits films !!!!)
Depuis hier, premier épisode "une vieille femme indigne" (durée : 4 minutes). Et en plus, aujourd'hui "Ah si j'étais riche!" (2mn20)
Si ça vous plaît, vous pouvez faire passer l'info :-))
vendredi 11 avril 2008
Pétition contre Guillermo Vargas Habacuc ::: quand l'Art est nié
En e 2007, the 'artist' Guillermo Vargas Habacuc, a choppé un chien errant, et l'a laissé mourir de faim et de soif dans une galerie d'art au Cuesta Rica. Pendant plusieurs jours, l'artiste et les visiteurs de la galerie ont pu assister à l'agonie de la pauvre bête.

 Pensez vous qu'une telle performance soit de l'art?

 Mais l'histoire ne s'arrête pas là! La prestigieuse Visual Arts Biennal d'Amérique Centrale a décidé, elle, que c'était de l'Art. Et invité M. Habacuc à réitérer son acte barbare en 2008.
Pour en savoir un peu plus, nous avons diggé et voici un article assez long en anglais qui date de la période de l'expo (oct 2007)

Une pétition est lancée dans le monde entier pour arrêter cette ignominie.
Il suffit de recherche par le nomt Guillermo Vargas Habacuc.
www.petitiononline.com/13031953/petition.html
Nous les chats, comptons sur vous.

 Pensez vous qu'une telle performance soit de l'art?

 Mais l'histoire ne s'arrête pas là! La prestigieuse Visual Arts Biennal d'Amérique Centrale a décidé, elle, que c'était de l'Art. Et invité M. Habacuc à réitérer son acte barbare en 2008.
Pour en savoir un peu plus, nous avons diggé et voici un article assez long en anglais qui date de la période de l'expo (oct 2007)

Une pétition est lancée dans le monde entier pour arrêter cette ignominie.
Il suffit de recherche par le nomt Guillermo Vargas Habacuc.
www.petitiononline.com/13031953/petition.html
Nous les chats, comptons sur vous.
mercredi 9 avril 2008
Corepile ::: Let it pile
Collecter et recycler des piles c'est INDISPENSABLE. Mais encore faut il que tout le monde le sache !
Ecoutez le brâme des piles au fond des bois.
Nous les chats on adore la campagne de la société Corepile. Jubilatoire, complètement ouf....
C'est quoi ça??? ben, un collectif qui milite pour le recyclage des piles usagées...
Corepile est la première filiale française dédiée à la collecte et au recyclage des piles et petits accumulateurs.
Un bus en tournée dans toute la France du 1er avril au 14 mai 2008.
Ah, bon!
et oui!
Pour commencer voici le petit film
Et maintenant les choses sérieuses.
Les piles sont-elles dangereuses pour la santé et l'environnement ?
Seuls certains accumulateurs et piles bouton contiennent des substances dangereuses pour la santé et l'environnement : le mercure et le cadmium. Aujourd'hui, les piles et les accumulateurs neufs ou usagés répondent à des normes techniques et sanitaires internationales très strictes et ne présentent pas de danger pour le consommateur, dans le cadre d'une utilisation normale.
Pourquoi recycler les piles et les accumulateurs portables ?
Parce qu'au-delà de la simple volonté de limiter les impacts sur l'environnement, la valorisation des piles et des accumulateurs représente de véritables enjeux. On recycle pour :
- éviter de gaspiller des ressources naturelles rares et présentes en quantités limitées dans la nature comme le fer, le zinc, le manganèse et le nickel;
- produire, après recyclage, des alliages et des métaux à valeur ajoutée (acier, ferromanganèse) qui seront utilisés dans de nombreuses industries. En savoir plus : la valorisation des piles en fin de vie ;
- éviter d'introduire dans les ordures ménagères (destinées à l'élimination par incinération) des traces de mercure, de plomb ou de cadmium, contenus dans certains type de piles.
RAPPEL : De nos jours les piles contenant du mercure, du plomb ou du cadmium ne représentent plus qu'environ 10% des piles vendues. Les plus gros volumes de vente sont représentés par les piles bâtons salines ou alcalines, dont le mercure a été éliminé depuis près de 15 ans. En savoir plus : progrès écologiques .
Quels sont les produits recyclés ? Et ceux exclus du recyclage ?
D'après la législation française, toutes les catégories de piles et d'accumulateurs sont soumis à la réglementation et doivent tous être recyclés sans exception. COREPILE recycle toutes les piles (salines, alcalines, boutons, au zinc-air, au lithium etc) et tous les accumulateurs portables (au plomb, nickel-cadmium, nickel-métal hydrure, lithium-ion etc).Cependant, certaines catégories comme les batteries automobiles ou les accumulateurs industriels au plomb ne sont pas récupérés par COREPILE, et suivent d'autres voies de retraitement.
Cadeau Bonux: voici ce que vous pourrez voir en allant sur le sitefacedepile/
Le dico des piles illustrées
Corepile, le site
Ecoutez le brâme des piles au fond des bois.
Nous les chats on adore la campagne de la société Corepile. Jubilatoire, complètement ouf....
C'est quoi ça??? ben, un collectif qui milite pour le recyclage des piles usagées...
Corepile est la première filiale française dédiée à la collecte et au recyclage des piles et petits accumulateurs.
Un bus en tournée dans toute la France du 1er avril au 14 mai 2008.
Ah, bon!
et oui!
Pour commencer voici le petit film
Et maintenant les choses sérieuses.
Les piles sont-elles dangereuses pour la santé et l'environnement ?
Seuls certains accumulateurs et piles bouton contiennent des substances dangereuses pour la santé et l'environnement : le mercure et le cadmium. Aujourd'hui, les piles et les accumulateurs neufs ou usagés répondent à des normes techniques et sanitaires internationales très strictes et ne présentent pas de danger pour le consommateur, dans le cadre d'une utilisation normale.
Pourquoi recycler les piles et les accumulateurs portables ?
Parce qu'au-delà de la simple volonté de limiter les impacts sur l'environnement, la valorisation des piles et des accumulateurs représente de véritables enjeux. On recycle pour :
- éviter de gaspiller des ressources naturelles rares et présentes en quantités limitées dans la nature comme le fer, le zinc, le manganèse et le nickel;
- produire, après recyclage, des alliages et des métaux à valeur ajoutée (acier, ferromanganèse) qui seront utilisés dans de nombreuses industries. En savoir plus : la valorisation des piles en fin de vie ;
- éviter d'introduire dans les ordures ménagères (destinées à l'élimination par incinération) des traces de mercure, de plomb ou de cadmium, contenus dans certains type de piles.
RAPPEL : De nos jours les piles contenant du mercure, du plomb ou du cadmium ne représentent plus qu'environ 10% des piles vendues. Les plus gros volumes de vente sont représentés par les piles bâtons salines ou alcalines, dont le mercure a été éliminé depuis près de 15 ans. En savoir plus : progrès écologiques .
Quels sont les produits recyclés ? Et ceux exclus du recyclage ?
D'après la législation française, toutes les catégories de piles et d'accumulateurs sont soumis à la réglementation et doivent tous être recyclés sans exception. COREPILE recycle toutes les piles (salines, alcalines, boutons, au zinc-air, au lithium etc) et tous les accumulateurs portables (au plomb, nickel-cadmium, nickel-métal hydrure, lithium-ion etc).Cependant, certaines catégories comme les batteries automobiles ou les accumulateurs industriels au plomb ne sont pas récupérés par COREPILE, et suivent d'autres voies de retraitement.
Cadeau Bonux: voici ce que vous pourrez voir en allant sur le sitefacedepile/
Le dico des piles illustrées
Corepile, le site
samedi 5 avril 2008
Gazon maudit, fou rire télégénique
Reçu sur Facebook ce jour.
Regardez jusqu'au bout! Les merveilles du direct sur Direct 8 décidémént bien sympathique.
Le contexte:
un jeune homme très joli présente ses meubles jardin. Ou comment faire pousser de l'herbe (à chats) sur une table de salon.
C'est juste irrésistible.
Bon OK, Nous les chats, on se lâche.
Regardez jusqu'au bout! Les merveilles du direct sur Direct 8 décidémént bien sympathique.
Le contexte:
un jeune homme très joli présente ses meubles jardin. Ou comment faire pousser de l'herbe (à chats) sur une table de salon.
C'est juste irrésistible.
Bon OK, Nous les chats, on se lâche.
Nouveau boulot, moins de temps pour blogger
Coucou, les p'tits loups.
Depuis un moment, nous sommes absents c'est vrai. Mais, Nous les chats avons trouvé un nouveau boulot. Vous connaissez notre implication pour un monde meilleur:
Mais cela ne nous empêchera pas de participer à la marche blanche pour Ingrid Bétancourt. C'est demain dimanche.
Et puisque c'est le week end, pour que la fête soit plus verte nous avons trouvé un nouveau gobelet (consigné et recyclable) pour les soirées festives. Vous pourrez tout découviri sur le Baso berri, chez Ecolo Info.
Ecolo info devient un site, un VRAI, avec une équipe soudée de 10 nouveaux rédacteurs....
Dont Nous les chats.
Mais on sera plus sages, c'est promis.
Depuis un moment, nous sommes absents c'est vrai. Mais, Nous les chats avons trouvé un nouveau boulot. Vous connaissez notre implication pour un monde meilleur:
Mais cela ne nous empêchera pas de participer à la marche blanche pour Ingrid Bétancourt. C'est demain dimanche.
Et puisque c'est le week end, pour que la fête soit plus verte nous avons trouvé un nouveau gobelet (consigné et recyclable) pour les soirées festives. Vous pourrez tout découviri sur le Baso berri, chez Ecolo Info.
Ecolo info devient un site, un VRAI, avec une équipe soudée de 10 nouveaux rédacteurs....
Dont Nous les chats.
Mais on sera plus sages, c'est promis.
jeudi 3 avril 2008
Vente de fleurs dans le 9è à Paris
Un article du Daily Neuvième (3 avril 2008), notre quotidien local et préféré
Réginald Lepoutre est un horticulteur producteur de plantes et arbustes d'extérieur unique en France. Il organise le mercredi 9 avril et le jeudi 10 avril une vente exceptionnelle pour faire découvrir ces produits méconnus du grand public.
Réginald Lepoutre a deux passions, les antiquités et le jardinage. Après une carrière d'expert-comptable, il change de métier en 1998. Il devient producteur et horticulteur à Bures, un village du XVIIème siècle dans le Yvelines. Il y cultive ses plantes de manière unique en France.
Originaire du Nord de la France, Réginald a passé un grande partie de son enfance dans les serres de son grand-père. Ce dernier était un industriel du textile. Il avait pour habitude de scruter les différentes espèces de coton dans son jardin. Mais sa passion s'exprimait de manière inconditionnelle pour les pivoines. Il en possédait une collection unique. Emu, Réginald se souvient encore de ces moments passés avec son grand-père à jardiner.
Aujourd'hui, sa passion pour le jardinage ne marque aucun signe d'érosion. Ses 40 hectares les plantations dans les Yvelines produisent des plantes fleuries, des géraniums, des rosiers, ou des arbustes issus d'une sélection draconienne.
Ainsi, ces végétaux sont très résistants, florifères (ils produisent beaucoup de fleurs...) et bien adaptés à la ville. Les plantes que vend Reginald sont issus de plants très rustiques et anciens. Qui penserait qu'un cyclamen puisse rester fleuri d'août à avril? Cette prouesse s'explique par un respect profond de la nature. Les plants poussent à leur rythme. Réginald n'utilise aucun pesticide et l'arrosage se fait avec de l'eau de pluie filtré préalablement dans un bain d'argile.
La production de Réginald est unique en France. Il fournit près de 125 communes et orne les façades de 520 hôtels et bien sûr celles des plus prestigieux.
Réginald conseille également une clientèle de particuliers et n'est pas avare d'astuces. Il transforme les mains les plus maladroites en mains vertes. Saviez-vous que le IXème est l'arrondissement de Paris qui possède le plus de jardins privatifs? Le VIIème est en revanche celui qui possède le plus de jardins publics..
Ces deux jours vont permettre de découvrir des plantes authentiques aux couleurs rares. Une tradition que la Hollande, grand producteur de fleurs et de plantes, ne pourra jamais faire sienne.
Vente le mercredi 9 avril et jeudi 10 avril de 8h à 19h au 17 rue Moncey.
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